« Rodrigue as-tu du cœur ? »
Quel adolescent n’a pas soupiré sur l’interrogation cornélienne, singulièrement posée à un âge où les questionnements anatomiques auraient tendance à cibler plus bas dans l’individu, un endroit plus sexy et tout aussi palpitant. Eh bien, récemment, au Stade de France pendant le match de rugby France-Pays de Galles, j’ai compris la pertinence de l’interrogation. Tintamarrant …